Promenade à Berlin en « Trabi »
27 janvier 2009Depuis la chute du mur de Berlin, la Trabi est devenue un symbole de la réunification : c’est à son volant, que nombre d’Allemands de l’Est se sont rendus pour la première fois à l’Ouest. Dans le centre-ville de Berlin, les Trabis, trop polluantes, sont interdites. Mais « l’Ostalgie » est devenue un véritable fond de commerce et une attraction touristique : une entreprise berlinoise a ainsi obtenu une dérogation et permet de conduire, le temps d’une heure et demie, une Trabi à travers les rues de Berlin.
Un reportage signé Philipp Boerger et présenté par Elisabeth Cadot.
Egalement dans cett émission : Les petites puces qui nous surveillent
Polémique en Ile-de-France sur le suivi des voyageurs : le 1er février prochain le traditionnel ticket mensuel disparaît complètement, remplacé par une carte magnétique gratuite, mais qui contient des informations sur son utilisateur, sauf à payer 5 euros pour une carte « Navigo Découverte ».
Un reportage de Laurent Berthault.
La nouvelle carte de transport belge Mobib, l'équivalent bruxellois du pass navigo, contient des données personnelles. Le professeur de cryptographie à l'Université Catholique de Louvain, Gildas Avoine, vient de démontrer que l'on peut les consulter au moyen d'un simple lecteur de puce et d'un logiciel dédié.
Par Jessica Jouve.
Sortir en Europe : Alberto García-Alix à Madrid
Le musée Reina Sofia consacre une rétrospective à ce photographe, considéré comme l’un des plus importants artistes espagnols de ces dernières décennies et témoin privilégié de la movida madrilène et espagnole…
Par François Musseau.
Chronique media : Facebook et la mafia
En Italie, les mafieux aussi ont leur réseau Facebook. On peut même devenir "fan" des parrains de la Cosa Nostra, tels Toto Riina et Bernardo Provenzano. Au nom de la liberté d'expression, les dirigeants du site n’ont pas voulu les censurer. Seule riposte possible, créer des groupes anti-mafia. Une avalanche de réactions qui est finalement venue à bout de deux des principaux réseaux glorifiant Toto Riina.
Par Mathilde Auvillain.