Les azulejos du Portugal: un patrimoine convoité
19 juin 2009Bestiaires, allégories, scènes religieuses, tapis floraux, motifs géométriques…Au Portugal, ce sont des carreaux de faïence, les azulejos, qui décorent les murs des palais, des églises et des maisons particulières. Parfaitement adapté au climat portugais, le carreau de faïence a remplacé les couteuses et délicates tapisseries. L’évolution des techniques comme celle des motifs au cours des siècles, depuis l’apparition des azulejos au XIV ème siècle, raconte l’histoire d’un pays qui s’est passionné pour ces éléments décoratifs. Mais ce patrimoine se transforme en objet souvenir et se vend à un bon prix. De là à voir naître un marché parallèle de trafic d’azulejos il n’y avait qu’un pas qui semble être franchi. Alors face aux dangers qui guettent le patrimoine, le site SOS azulejos veut alerter la population, mobiliser les pouvoirs publics et empêcher le pillage de précieuses œuvres d’art. « Azulejos du Portugal, un patrimoine unique en danger », un reportage à Lisbonne de Marie-Line Darcy
Estuaire 2009
C’est le nom d’une manifestation culturelle qui prend de l’ampleur entre Nantes et Saint-Nazaire et qui vient de s’ouvrir. Cette deuxième édition a pour but de faire découvrir un paysage très particulier, l’estuaire de la Loire jusqu’à son embouchure dans l’atlantique. Le parcours 2009 est ponctué d’œuvres d’art et d’événements jusqu’à la présence de loups dans la ville de Nantes. Explications de Jean Blaise, initateur de l’événement dans un reportage signé Muriel Malouf
Agenda culturel
Gros plan sur le reggae avec un festival né dans une petite discothèque du nord de l’Italie. Il porte un nom étonnant « ROTOTOM SUNSPLASH », un nom qui fait plutôt BD pour enfants. Le rototom est, en fait, un instrument de percussion à peau et le terme "sunsplash" fait référence à un festival de reggae né en Jamaïque à la fin des années 1970, le festival "reggae sunsplash".
Si "Rototom Sunsplash" accueille les grands noms du reggae, ce festival souhaite également être un tremplin pour les jeunes groupes européens. Les précisions de Nathanaelle Reveyron