Au menu de ce sommet, les conflits en Libye et au Soudan, le report de la présidentielle au Sénégal, ou encore l'escalade des tensions entre la RDC et le Rwanda. Les dirigeants se sont également penchés sur les turbulences traversées par la Cédéao avec le départ annoncé de trois pays du Sahel : le Niger, le Burkina Faso et le Mali.
Un mini-sommet extraordinaire sur la situation en République démocratique du Congo (RDC) a également eu lieu, avec pour objectif la relance du processus de Paix dans l'est de la RDC.
La réunion, convoquée par le chef de l'État angolais, João Lourenço, en présence des présidents de la RDC, Félix Tshisekedi et son homologue rwandais Paul Kagame.
Par ailleurs, le président mauritanien Mohamed Ould Ghazouani a succédé à son homologue comorien Azali Assoumani à la présidence tournante de l’organisation panafricaine.
Quel bilan dresser de ce sommet? Comment redynamiser l'organisation panafricaine?
Eric Topona a posé la question à ses invités sous l'Arbre à palabres:
- Paul-Simon Handy, directeur régional de l'Institut d'études de sécurité pour l'Afrique de l'Est et son représentant auprès de l'Union africaine à Addis Abeba.
- Sadio Morel-kante, journaliste/ chercheuse associée à l'Institut Prospective et Sécurité en Europe (IPSE).
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